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►Article paru dans LE DAUPHINE LIBERE du lundi 5 juin 2023 (Par Marc Morbelli)
Avec leur descente de la Durance, les Radeliers remontent le temps
La ferveur et la passion populaire pour encourager l’atypique descente en radeaux ont fait de la 23e reconstitution historique un véritable succès.
Les Radeliers de la Durance juste avant le départ de Saint-Clément-sur-Durance. (photo Le DL/Marc MORBELLI)
Après la descente entre L’Argentière-la-Bessée et Saint-Clément-sur-Durance le samedi, ce dimanche était consacré à celle menant les radeliers le long de la digue du plan d’eau d’Embrun.
►Article paru dans LE DAUPHINE LIBERE du lundi 5 juin 2023 (Par Marc Morbelli)
Avec leur descente de la Durance, les Radeliers remontent le temps
La ferveur et la passion populaire pour encourager l’atypique descente en radeaux ont fait de la 23e reconstitution historique un véritable succès.
Les Radeliers de la Durance juste avant le départ de Saint-Clément-sur-Durance. (photo Le DL/Marc MORBELLI)
Après la descente entre L’Argentière-la-Bessée et Saint-Clément-sur-Durance le samedi, ce dimanche était consacré à celle menant les radeliers le long de la digue du plan d’eau d’Embrun.
►Article paru dans LA PROVENCE du samedi 20 avril 2019 (Par Tanguy COHEN)
Embrun : la vie tragique des Notre-Dame
Le clocher de la cathédrale Notre-Dame d'Embrun était partiellement détruit au milieu du XIXe siècle
Le clocher et la flèche de la cathédrale d'Embrun sont comme un phare juché sur le rocher. (Photo M.R. LA PROVENVE)
Le 18 juin 1852, à 14h30, la foudre tombait sur le clocher de la cathédrale. La flèche, haute de 16 mètres, était coupée en deux et renversée. Des débris sont alors tombés à l'intérieur du clocher et sur le sol entourant le clocher. Certes, les dégâts occasionnés à Notre-Dame de Paris il y a quelques jours sont d'une autre gravité que ceux subis par Notre-Dame d'Embrun jadis. Néanmoins, le rapprochement entre ces deux événements n'est pas injustifié ; ils ne sont évidemment pas de la même ampleur et ont touché deux cités très différentes.
Rappelons qu'Embrun fut à sa manière une capitale puisque durant 15 siècles elle fut une métropole religieuse dont les archevêques ont longtemps possédé aussi un pouvoir temporel important.
"Cet accident a compromis très gravement toute l'église"
L'inspecteur général des monuments historiques, Prosper Mérimée (l'écrivain), chargea l'architecte Pierre Manguin de visiter la cathédrale et d'évaluer le montant des travaux. Le 4 février 1854, il rendait son rapport dont suivent des extraits : "L'église de N.-D. D'Embrun est un édifice très remarquable du XIIIe siècle, que son style gothique distingue parmi tous les monuments de cette partie de la France. Cet accident a compromis très gravement toute l'église." À Embrun comme à Paris, la destruction d'une partie de l'édifice met en péril l'ensemble. "L'ensemble des charpentes effondrées, cela ne fera pas de bien aux voûtes, et cela crée un choc mécanique important", a déclaré après l'incendie Benjamin Mouton, ex-architecte en chef de N.D. de Paris.
Mérimée décrivait ainsi le clocher : "Une hauteur de 34m68, une largeur de 8m80 et couronné par une flèche de 16 m de hauteur environ. Ses murs ont une épaisseur de 1m30. Notre-Dame d'Embrun détient en outre une originalité ; au lieu d'avoir construit ce clocher énorme (près de 4 000 tonnes, ndlr) en hors oeuvre, comme dans la plupart des cathédrales italiennes, ou à Moustiers-Sainte-Marie, les constructeurs d'Embrun, avec une belle témérité, l'ont établi de deux côtés sur les murs d'angle de la cathédrale et, d'autre part, sur deux arcs qui ont eux-mêmes leurs points d'appui communs en porte à faux. Cette situation périlleuse avait provoqué des tassements inquiétants avant même la catastrophe de 1852".
M. Manguin qui a examiné l'édifice était étonné que les vices énormes de cette disposition n'aient pas déjà amené la ruine de la tour.
Étonnante similitude
En 1785, le feu avait embrasé l'échafaudage lors de travaux...
Les travaux de reconstruction ont duré de 1858 à 1867. On a mis à bas la flèche et les deux étages supérieurs qui ont été reconstruits à l'identique.
Les archives de la cathédrale d'Embrun nous rappellent également ce fait : Des réparations sur la flèche du clocher de la grande église sont effectuées en 1785. Pour ce faire, "il a été fait quatre échafauds" ; le feu devait prendre à ces "échafauds, occasionné par le charbon allumé, dont on avoit besoin pour souder le fer-blanc...". Une étonnante similitude possible pour les deux Notre-Dame, à 234 années d'intervalle !
►Article paru dans LA PROVENCE du samedi 20 avril 2019 (Par Tanguy COHEN)
Embrun : la vie tragique des Notre-Dame
Le clocher de la cathédrale Notre-Dame d'Embrun était partiellement détruit au milieu du XIXe siècle
Le clocher et la flèche de la cathédrale d'Embrun sont comme un phare juché sur le rocher. (Photo M.R. LA PROVENVE)
Le 18 juin 1852, à 14h30, la foudre tombait sur le clocher de la cathédrale. La flèche, haute de 16 mètres, était coupée en deux et renversée. Des débris sont alors tombés à l'intérieur du clocher et sur le sol entourant le clocher. Certes, les dégâts occasionnés à Notre-Dame de Paris il y a quelques jours sont d'une autre gravité que ceux subis par Notre-Dame d'Embrun jadis. Néanmoins, le rapprochement entre ces deux événements n'est pas injustifié ; ils ne sont évidemment pas de la même ampleur et ont touché deux cités très différentes.
Rappelons qu'Embrun fut à sa manière une capitale puisque durant 15 siècles elle fut une métropole religieuse dont les archevêques ont longtemps possédé aussi un pouvoir temporel important.
"Cet accident a compromis très gravement toute l'église"
L'inspecteur général des monuments historiques, Prosper Mérimée (l'écrivain), chargea l'architecte Pierre Manguin de visiter la cathédrale et d'évaluer le montant des travaux. Le 4 février 1854, il rendait son rapport dont suivent des extraits : "L'église de N.-D. D'Embrun est un édifice très remarquable du XIIIe siècle, que son style gothique distingue parmi tous les monuments de cette partie de la France. Cet accident a compromis très gravement toute l'église." À Embrun comme à Paris, la destruction d'une partie de l'édifice met en péril l'ensemble. "L'ensemble des charpentes effondrées, cela ne fera pas de bien aux voûtes, et cela crée un choc mécanique important", a déclaré après l'incendie Benjamin Mouton, ex-architecte en chef de N.D. de Paris.
Mérimée décrivait ainsi le clocher : "Une hauteur de 34m68, une largeur de 8m80 et couronné par une flèche de 16 m de hauteur environ. Ses murs ont une épaisseur de 1m30. Notre-Dame d'Embrun détient en outre une originalité ; au lieu d'avoir construit ce clocher énorme (près de 4 000 tonnes, ndlr) en hors oeuvre, comme dans la plupart des cathédrales italiennes, ou à Moustiers-Sainte-Marie, les constructeurs d'Embrun, avec une belle témérité, l'ont établi de deux côtés sur les murs d'angle de la cathédrale et, d'autre part, sur deux arcs qui ont eux-mêmes leurs points d'appui communs en porte à faux. Cette situation périlleuse avait provoqué des tassements inquiétants avant même la catastrophe de 1852".
M. Manguin qui a examiné l'édifice était étonné que les vices énormes de cette disposition n'aient pas déjà amené la ruine de la tour.
Étonnante similitude
En 1785, le feu avait embrasé l'échafaudage lors de travaux...
Les travaux de reconstruction ont duré de 1858 à 1867. On a mis à bas la flèche et les deux étages supérieurs qui ont été reconstruits à l'identique.
Les archives de la cathédrale d'Embrun nous rappellent également ce fait : Des réparations sur la flèche du clocher de la grande église sont effectuées en 1785. Pour ce faire, "il a été fait quatre échafauds" ; le feu devait prendre à ces "échafauds, occasionné par le charbon allumé, dont on avoit besoin pour souder le fer-blanc...". Une étonnante similitude possible pour les deux Notre-Dame, à 234 années d'intervalle !
►Article paru dans le Dauphiné Libéré du mardi 23 mai 2023
Une exposition qui en apprend long sur l'école d'autrefois
La ville d’Embrun propose à la Maison des Chanonges, rue de l’Archevêché, une exposition gratuite jusqu’au samedi 4 novembre consacrée à l’école d’autrefois. Cette exposition est le fruit d’un partenariat avec l’Association de sauvegarde et d’études du patrimoine embrunais, l’association La Muande, les écoles d’Embrun, la maison de retraite des Chanterelles, Croc’Loisirs et différents collectionneurs.
Le vernissage de l’exposition sur l’école d’autrefois s’est déroulé ce mardi soir en présence de Wiebke Silve, adjointe aux affaires scolaires et périscolaires et Jehanne Marrou, adjointe à la culture et au patrimoine. Une bonne trentaine de personnes a assisté au lancement de l’exposition. Les élues ont chaleureusement remercié les personnes ayant mis à disposition objets et documents et les personnels communaux pour leur travail de mise en place.
► L’occasion de partager des souvenirs
Pupitres d’écoliers avec encriers en porcelaine, estrade et bureau de l’instituteur ou institutrice, tableaux noirs, de nombreux documents tels que des cartes géantes de géographie, histoire, leçons de choses, sciences naturelles, photos et descriptifs d’époque, livres, cahiers, carnets de notes, instruments de musique, projecteurs de films : de multiples trésors ont été, rassemblés pour un beau voyage dans le temps. Les souvenirs de cette partie d’enfance sont vite revenus à la surface chez certains.
Pour d’autres, « c’est un grand plaisir de redécouvrir ce que fut l’école d’alors, de revoir ce qu’elle nous a apporté, appris ». Ce patrimoine est un moment à partager en famille. Les plus âgés pourront partager avec les plus jeunes leurs souvenirs de cette époque où il n’y avait ni informatique, ni téléphone mobile, où tout se passait au tableau noir et dans les cahiers sur lesquels il fallait bien écrire avec les plumes sergent-major. Avec l’encre, il fallait réaliser de jolies lettres avec pleins et déliés, puisqu’il n’y avait pas non plus de stylo à bille.
Horaires : - de mai à juin et de septembre à novembre du mercredi au samedi de 15 à 18 h. - en juillet et août du mardi au dimanche de 16 à 19 h. Fermée les jours fériés.
Visites guidées : les jeudis du 20 juillet au 10 août à 16 h ; le dimanche 17 septembre à 10 h et les jeudis, du 26 octobre au 2 novembre, à 14 h 30.
►Article paru dans le Dauphiné Libéré du mardi 23 mai 2023
Une exposition qui en apprend long sur l'école d'autrefois
La ville d’Embrun propose à la Maison des Chanonges, rue de l’Archevêché, une exposition gratuite jusqu’au samedi 4 novembre consacrée à l’école d’autrefois. Cette exposition est le fruit d’un partenariat avec l’Association de sauvegarde et d’études du patrimoine embrunais, l’association La Muande, les écoles d’Embrun, la maison de retraite des Chanterelles, Croc’Loisirs et différents collectionneurs.
Le vernissage de l’exposition sur l’école d’autrefois s’est déroulé ce mardi soir en présence de Wiebke Silve, adjointe aux affaires scolaires et périscolaires et Jehanne Marrou, adjointe à la culture et au patrimoine. Une bonne trentaine de personnes a assisté au lancement de l’exposition. Les élues ont chaleureusement remercié les personnes ayant mis à disposition objets et documents et les personnels communaux pour leur travail de mise en place.
► L’occasion de partager des souvenirs
Pupitres d’écoliers avec encriers en porcelaine, estrade et bureau de l’instituteur ou institutrice, tableaux noirs, de nombreux documents tels que des cartes géantes de géographie, histoire, leçons de choses, sciences naturelles, photos et descriptifs d’époque, livres, cahiers, carnets de notes, instruments de musique, projecteurs de films : de multiples trésors ont été, rassemblés pour un beau voyage dans le temps. Les souvenirs de cette partie d’enfance sont vite revenus à la surface chez certains.
Pour d’autres, « c’est un grand plaisir de redécouvrir ce que fut l’école d’alors, de revoir ce qu’elle nous a apporté, appris ». Ce patrimoine est un moment à partager en famille. Les plus âgés pourront partager avec les plus jeunes leurs souvenirs de cette époque où il n’y avait ni informatique, ni téléphone mobile, où tout se passait au tableau noir et dans les cahiers sur lesquels il fallait bien écrire avec les plumes sergent-major. Avec l’encre, il fallait réaliser de jolies lettres avec pleins et déliés, puisqu’il n’y avait pas non plus de stylo à bille.
Horaires : - de mai à juin et de septembre à novembre du mercredi au samedi de 15 à 18 h. - en juillet et août du mardi au dimanche de 16 à 19 h. Fermée les jours fériés.
Visites guidées : les jeudis du 20 juillet au 10 août à 16 h ; le dimanche 17 septembre à 10 h et les jeudis, du 26 octobre au 2 novembre, à 14 h 30.
EXPOSITION Maison des Chanonges
Exposition en partenariat avec l’Association de Sauvegarde et d’Études du Patrimoine Embrunais, l’Association la Muande,
les écoles d’Embrun, la maison de retraite les Chanterelles, le Croc’Loisirs, et les collectionneurs.
Cette année, la Maison des Chanonges fait sa rentrée avec une exposition dédiée à l’école d’autrefois !
Mobilier, documents et photos d’époque sont rassemblés pour un petit voyage dans le temps à la recherche des souvenirs de cette période si particulière de l’enfance.
Nos parents et grands-parents, qui ont connu une école un peu différente de celle d’aujourd’hui, se rappelleront du tableau noir, des pupitres, des plumes Sergent-Major, de l’encre violette, de l’odeur de la craie mélangée à celle du poêle, des cartes de géographie ou encore des leçons de choses, mais aussi de leurs camarades et des parties de billes à la récréation ! Des souvenirs qu’ils partageront avec les plus jeunes afin qu’ils découvrent le « patrimoine de l’enfance ».
HORAIRES D’OUVERTURE :
MAI- JUIN ET SEPTEMBRE-NOVEMBRE : du mercredi au samedi de 15h à 18h
JUILLET-AOÛT : du mardi au dimanche de 16h à 19h
Fermée les jours fériés
VISITE GUIDÉE DE L’EXPOSITION :
- les jeudis du 20 juillet au 10 août à 16h
- le dimanche 17 septembre à 10h
- les jeudis du 26 octobre au 2 novembre à 14h30.
Exposition en partenariat avec l’Association de Sauvegarde et d’Études du Patrimoine Embrunais, l’Association la Muande,
les écoles d’Embrun, la maison de retraite les Chanterelles, le Croc’Loisirs, et les collectionneurs.
Cette année, la Maison des Chanonges fait sa rentrée avec une exposition dédiée à l’école d’autrefois !
Mobilier, documents et photos d’époque sont rassemblés pour un petit voyage dans le temps à la recherche des souvenirs de cette période si particulière de l’enfance.
Nos parents et grands-parents, qui ont connu une école un peu différente de celle d’aujourd’hui, se rappelleront du tableau noir, des pupitres, des plumes Sergent-Major, de l’encre violette, de l’odeur de la craie mélangée à celle du poêle, des cartes de géographie ou encore des leçons de choses, mais aussi de leurs camarades et des parties de billes à la récréation ! Des souvenirs qu’ils partageront avec les plus jeunes afin qu’ils découvrent le « patrimoine de l’enfance ».
HORAIRES D’OUVERTURE :
MAI- JUIN ET SEPTEMBRE-NOVEMBRE : du mercredi au samedi de 15h à 18h
JUILLET-AOÛT : du mardi au dimanche de 16h à 19h
Fermée les jours fériés
VISITE GUIDÉE DE L’EXPOSITION :
- les jeudis du 20 juillet au 10 août à 16h
- le dimanche 17 septembre à 10h
- les jeudis du 26 octobre au 2 novembre à 14h30.
LA DURANCE N°123 - Eté 2023
LA DURANCE N°123
PRINTEMPS 2023
Pour tous nos abonnés,
en vente aussi :
►Imprimerie RECTO-VERSO Place de la Mazelière à EMBRUN
►A.S.E.P.E, cliquer ici : Nous contacter
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Les mots de l’Embrunais et du Savinois :
Les mots de l’Embrunais et du Savinois :
origines et histoire, étymologies
(Jean-Marie MICHEL)
Pour retrouver les origines et étymologies de noms, tels Parpaillon, Manins, Séyères, choucas, Noiret et autres à travers les thèmes de la montagne, l’eau, les villages et lieux-dits, les activités humaines, la vie économique, la faune et la flore, etc..
►Description de l’ouvrage : 154 pages, format 21/29, couverture souple; 14,00 €.
►En vente : Librairie Charabia, place Saint-Marcellin - 05200 EMBRUN
►Zone décrite : 12 communes :
Baratier, Châteauroux-les-Alpes, Crévoux, Crots, Embrun, Les Orres, Puy-Sanières, Puy-Saint-Eusèbe, Réallon, Saint-André-d’Embrun, Saint-Sauveur, Savines-le-Lac.
►Plus de 1000 mots traités.
►Suite à des recherches chez de nombreux auteurs, j’ai essayé d’éclaircir l’origine de noms divers : montagnes, cols, torrents, lieux-dits, habitations, activités et métiers représentés localement, etc.
Je suis remonté aussi loin que possible : occitan, vieux français, latin, grec, celte et indo-européen, chaque fois que possible. Les linguistes n’apportent pas toujours des réponses convergentes, des lacunes ou interrogations subsistent, mais les hypothèses émises sont stimulantes…
(Jean-Marie-MICHEL est un embrunais, membre de notre association l'A.S.E.P.E).
Renseignements : 04 92 43 20 91. |
Les mots de l’Embrunais et du Savinois :
origines et histoire, étymologies
(Jean-Marie MICHEL)
Pour retrouver les origines et étymologies de noms, tels Parpaillon, Manins, Séyères, choucas, Noiret et autres à travers les thèmes de la montagne, l’eau, les villages et lieux-dits, les activités humaines, la vie économique, la faune et la flore, etc..
►Description de l’ouvrage : 154 pages, format 21/29, couverture souple; 14,00 €.
►En vente : Librairie Charabia, place Saint-Marcellin - 05200 EMBRUN
►Zone décrite : 12 communes :
Baratier, Châteauroux-les-Alpes, Crévoux, Crots, Embrun, Les Orres, Puy-Sanières, Puy-Saint-Eusèbe, Réallon, Saint-André-d’Embrun, Saint-Sauveur, Savines-le-Lac.
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►Suite à des recherches chez de nombreux auteurs, j’ai essayé d’éclaircir l’origine de noms divers : montagnes, cols, torrents, lieux-dits, habitations, activités et métiers représentés localement, etc.
Je suis remonté aussi loin que possible : occitan, vieux français, latin, grec, celte et indo-européen, chaque fois que possible. Les linguistes n’apportent pas toujours des réponses convergentes, des lacunes ou interrogations subsistent, mais les hypothèses émises sont stimulantes…
(Jean-Marie-MICHEL est un embrunais, membre de notre association l'A.S.E.P.E).
Renseignements : 04 92 43 20 91. |